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Ce travail n'a pas été facile a réaliser, car nous sommes habitués a dessiner de façon a ce que notre œuvre soit la plus belle possible (trait a la règle, forme bien réalisée sans débordée...) contrairement a ce travail ou nous avons dût casser nos habitudes et essayer de faire ce qui pour nous sembler "le plus mal possible". IL n'y avait pas de règles, donc nous avons pu laisser libre recours a notre imagination et effectuer des dessins non réalismes.
Il est très difficile de faire une oeuvre de qualité tout en faisant un portrait mal réaliser, car souvent pour nous, une œuvre de qualité est une œuvre bien faite. Faire un dessin spontané est compliqué surtout lorsqu’on tient à s'appliquer. Cependant, il ne faut pas entendre par « plus mal possible »le fait de faire quelques chose le plus moche possible. En effet, dans ce sujet, ce n'est pas la réalisation qui fait la qualité de l’œuvre, mais l'apport créatif. J’ai mis du temps a comprendre cette nuance. L’œuvre m’a le plus inspirée est « Site avec sept personnages » de Jean Dubuffet, qui pour moi, représente parfaitement ce sujet.
Ce travail était intéressant car il était différent des dessins que nous devions réaliser jusqu'ici. Il permet de laisser libre cours à la créativité sans trop s'attacher au tracé précis d'un dessin ou d'une reproduction. Cela permet de comprendre que la beauté d'une oeuvre n'est pas uniquement liée à l'esthétisme, qu'elle peut avoir d'autres aspects (lumière , graphisme..).
Je trouve que ce sujet permettait de découvrir un autre aspect de l'art consistant à essayer de faire un dessin le plus mal possible.Je pense que ce travail nécessitait un contrôle de soi car il n'est pas facile de faire le contraire de ce que l'on nous a toujours appris :"essayer de faire les meilleurs choses". De plus ce sujet devait allier figuratif et réalisme pour créer une portrait le plus mal dessiné.
En commençant ce dessin sur le plus mal possible je me suis dit que ça aller être facile mais ça na pas été aussi simple car quand on fait une oeuvre on a toujours tendance a se que se soit bon et bien fait alors que il faut faire le contraire. J'ai utilisé le crayon de papier en faisant des traits non contrôles au départ pour donner cet effet mal fait et au fur et à mesure je lui est donné un aspect réel et figuratif.
Ce travail était difficile car faire quelque chose de mal fait est dur.J' ai essayer de faire un aspect figuratif et réel et en même temps, on devait faire recoure a notre imagination.
Ce travail fut tres constructif car le décalage des portrait avec la réalité nous a fait comprendre un autre visage de l'art contemporain avec de formation volontaire sur l'oeuvre.
martial touzet3°1
Je trouve que se travail était compliqué car il fallait faire un portrait le plus mal possible sans trop le déformer pour qu'il ressemblent a quelque chose, pour qu'il soit réaliste.
Ce travail fut une tâche complexe, il ne fallait pas simplement dessiner, faire des traits dans n'importe quel sens. Il fallait avoir une réflexion bien recherchée, ce travail nécessitait une réflexion de soi-même pour pouvoir réaliser un travail adéquat en rapport avec le thème imposé par le professeur.
Ce travail était intéressant il ma plus cétait passionnant et cela était une découverte pour moi,dessiner le plus moche possible est très compliqué car je dessine très bien,c'est pour cela que sa ma plus sa change de d'habitude
Grâce a ce travail,
J'ai découvert que même si le nom s'apparentait a quelque chose de facile, il ne l'était pas.
Le travail consistait à dessiner le plus mal possible, tout en gardant un aspect réel du portrait en ne le déformant pas.
Jean Dubuffet montre bien dans son œuvre "Fait divers" qu'il est possible de créer une œuvre réaliste malgré tout.
Au départ c'est vrai que ce projet ne m'a pas vraiment inspirée . Mais ce travail de réaliser une oeuvre figurative , avec un réel écart avec le travail que nous produisons habituellement m'a assez plu . Pour ma part j'ai pu découvrir donc de nouvelles techniques d'art et de création . Le sujet de réaliser un portrait "le plus mal possible" était plutôt enrichissant car le plus mal possible ne voulait pas dire faire n'importe quoi , il fallait effectivement faire quelque chose de "mal fait" mais pas dans le sens mal fait (travail bâclé) , donc j'ai bien aimé le fait de pouvoir faire un travail qui laissait libre court a notre imagination et expression .
Ce travail était très intéressant à réaliser, nous avons commencé par "tester" le projet avant de passer à l'oeuvre finale, il nous a appris a ne pas trop s'attacher a l'esthétisme. Nous avons pu comprendre le sens du "plus mal possible" grâce au fait que nos œuvres étaient irréalistes mais pourtant elles restaient considérées comme "portraits". Le "plus mal possible" nous fait prendre conscience que l'idéal n'existe pas, que l'art n'a pas besoin d'être beau pour exister.
Quand M.Lumineau nous a donné le sujet, j'étais assez confiante. Puis est arrivé le moment de dessiner. Au début je ne savais pas du tout quoi faire, je me demandais comment dessiner le plus mal possible car l'homme a tendance à être perfectionniste sans en être consient. Willem De Kooning est un artiste peintre ayant fait une oeuvre se nommant "Woman I". Il y a de nombreuses couleurs mais la couleur dominante reste le noir qui permet de distinguer les contours d'une femme. Je trouve cette oeuvre très intéressante car on peut y voir le sourire de la femme grace aux lignes plus foncées. Pour réaliser mon oeuvre j'ai utilisé un feutre noir pour mettre les traits les plus importants en valeurs.
Nous avons réalisé des œuvres dans le sujet du plus mal possible et cela n'est pas si simple de dessiner quelques chose de moche ou de ne pas s'appliquer. Nous avons réalisé nos projets en autonomie en donnant chacun notre vision de mal dessiner en nous apercevant que nos œuvres étaient réels sans l’être vraiment.
Faire de l'art le plus mal possible est différent de ce que l'on peut voir d'habitude. Par exemple Jean Dubuffet a fait plusieurs portraits représentant des personnages figuratifs schématiques comme dans "Site avec sept personnages". Pour moi l'art n'est pas forcément associé à quelque chose de beau car l'art sert à exprimer et l'art mal fait peut exprimer des émotions comme le désordre ou autre... Nous avons dû réaliser un portrait le plus mal fait possible ce qui nous a fait rendre compte que l'art n'est pas forcément bien fait et que l'art mal fait n'est pas si facile qu'il en a l'air, il faut adopter une technique.
On peut penser que dessiner le plus mal possible c'est simple alors que non. Nous avons été habitués à devoir faire de beaux dessins. certains dessins étaient quand même beaux.
L'homme commun à l'ouvrage de Jean du buffet nous apprend que la représentation d'un portrait n'est pas obligatoirement réaliste. Que l'art n'est pas que figuratif et qu'il laisse la liberté d'un écart avec la réalité. Pour pouvoir créer nos propres œuvres nous avons du casser nos codes de la beauté. Utiliser une gestuelle inhabituelle plutôt difficile à adopter et abandonner l'idée de rendre un dessin joli à regarder.
Excellent non ? j'ai trouvé ce projet un peu hors du commun... un peu figuratif. Les œuvres était toutes différentes selon l'imagination de l'artiste, cela est impossible qu'il y est deux œuvres identiques. Il faut en faite y aller sans réfléchir, l'imagination ne vient qu'au fur et à mesure. Pour ma part, je n'est pas eu besoin d'une grande réflexion pour réalisé ce projet du "plus mal possible". En plus cela ne m'a pas gêné puisque je dessine plus tôt mal.
Ce sujet est très intéressant, car tout le monde est habitué a faire des œuvres précis et beau à voir. Alors que là il faut le faire le plus mal possible. Il est d'autant plus difficile de faire un dessin mal fait que bien fait. Il faut le faire sans réfléchir pour y réussir. C'était un autre aspect de l'art et je pense qu'il y en a d'autre à découvrir.
J'ai bien aimé ce travail car c'était un sujet original. Mais ce n'était pas si facile que sa car mettre en oeuvre un projet a la fois surréaliste et figuratif qui demandé de l'imagination. Il fallait faire un portrait mal fait.
Le sujet "Le plus mal possible" peut sembler très simple mais quand on le découvre un peu plus nous nous rendons compte que cela était beaucoup plus compliqué que l'on ne l'imaginait. Cela nous a laissé de la liberté mais nous avions quand même dut faire quelque chose qui ressemblait à un portrait tout en le faisant le plus mal possible comme dans l’œuvre de Jean DUBUFFET "faits divers" en 1981.
Ce travail était très intéressant car pour une fois pour faire ce projet il n'a pas forcément fallut savoir dessiner. Nous n'avons pas vraiment eut de consigne juste "le plus mal possible". Nous avons donc eut plus de libertés. J'ai compris qu'avec ce projet "le plus mal possible" n'étais pas forcément moche. Je pense que c'est ce que voulait nous montrer Jean Dubuffet en faisant ce projet.
Ce projet "le plus mal possible" a demandé beaucoup d'imagination car avant de commencer se projet je pensais que cela allait être très simple, je pensais également qu'il fallait faire n'importe quoi. Mais au contraire il faut s'appliquer d'avantage. Tout était exagéré mais il fallait quand même rester dans le réalisme.
Dans ce projet, l'écart entre le figuratif et le réalisme est frappant, sans pour autant être inexistant, en effet la figuration bien qu'exagérée ou même fictive représente toujours une part de vérité, surtout lorsqu'il s'agit d'un portrait ; En effet ramener la réalité à un "plus mal possible " peut clairement emmener à la représentation d'une émotion ou un trait de caractère au sens le plus pur du terme. Je trouve que "woman 1" de willem de kooning représente parfaitement la sensation du personnage en question.
J'ai bien aimé ce travail, son thème, " le plus mal possible ", était très original. Ces portrait figuratif sont réalistes sans trop l'être, je pense a "Woman 1" de Willem de Kooning. Pour faire ce travail et comme pour "Woman1" il faut de la spontanéité et de la précision dans ce que l'on fait. Mais suivant les artiste et leur imagination les œuvres changent. Par exemple celles de J.Dubuffet "Fait divers" et celle de W.de Kooning "Woman 1" les couleurs ne sont pas du tout les mêmes, les traits et les formes aussi.
Nous pensons souvent que l'art est associé aux belles choses alors que même les oeuvres ''mal faite'' sont aussi de l'art mais ce n'est pas pour autant plus simple contrairement à ce que l'on peut croire. Sur la feuille n°2 et le dessin au milieu le dessin est figuratif mais cela est intéressant. Ce qui est intéressant ce que certains travaux sont figuratif et d'autres réaliste pour le meme sujet.
Cette œuvre est assez complexe car pour faire mal mais à la fois figuratif il faut avoir un projet construit. le portrait nous permettait de pouvoir faire des choses différentes, exprimer ses traits de caractère. Pour ce travaille je trouve que il faut savoir manier la ligne car plein de lignes bout a bout peuvent former une œuvre réaliste comme Jean Dubuffet, faits divers.
Ce travail sur le "mal fait" a était très dur a réaliser , cela me rappel que même le figuratif donne a avoir ce qu'on essaye d’illustrer ou de penser . Il faut une grande maîtrise de la ligne et tu tracer mais il faut se laisser un écart pour éviter d'illustrer du réalisme . Le mal fait est souvent interpréter par le portrait . Le "mal fait" nous laisse suggérer ce qu l'artiste a voulus montrer a travers cette oeuvre comme Jean Dubuffet ,L’homme du commun à l’ouvrage.
J'ai trouvé ce travail très instructif et intéressant. Mais il est vrai que faire une oeuvre "le plus mal possible" tout en s'appliquant d'avantage n'est pas si facile que ça. Cet exercice nous a laisser imaginer ce que l'artiste a voulu faire en créant cette oeuvre comme Jean Dubuffet ,l'homme du commun à l'ouvrage. Pour faire une oeuvre figurative tout en restant au réalisme est à assez difficile
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