« chaque œuvre pousse, subsiste, se dégrade, composantes intégrales d'un cycle que le photographe montre à leur point culminant, balisant le moment où l'œuvre est la plus vivante. Il y a une intensité dans une œuvre à son sommet qui j'espère s'exprime dans l'image. L'évolution et le délabrement sont implicites. »
Bien que les explorateurs européens arrivèrent pour la première fois en Polynésie en 1595, ce n’est pas avant le passage du capitaine James Cook dans ces îles en 1769 que les premiers rapports de ces tatouages tribaux ne furent documentés.
On attribue la première référence au terme de “tattoo” à Joseph Banks, un naturaliste à bord du HMS Endeavour, le navire de James Cook. Dans son journal, Banks écrit “J’évoquerai maintenant la façon dont ils se marquent de façon indélébile, chacun d’entre eux étant marqué par son humeur ou sa disposition".
En peinture et en sculpture et dans d'autres domaines, les entrelacs sont des motifs ornementaux employés dans différents domaines des arts (peinture, sculpture, gravure, etc.), aussi nommés nœuds celtiques.
Ils évoquent des cordes sans extrémités et enchevêtrées, en général symétriques ou se répétant le long d'une frise par exemple, avec des croisements visibles qui permettent de suivre chaque corde le long de son tracé.
Une bande dessinée citoyenne - Réalisations des élèves de 3ème :
"Avec tant de soleil dans la mémoire, comment ai-je pu parier sur le non-sens ?" Albert Camus (1913-1960), L'été
"Dans l'autre pièce, Rateau regardait la toile, entièrement blanche, au centre de laquelle Jonas avait seulement écrit, en très petits caractères, un mot qu'on pouvait déchiffrer, mais dont on ne savait s'il fallait y lire solitaire ou solidaire." Albert Camus (1913-1960), Jonas
"Le bruit des vagues était encore plus paresseux, plus étale qu'à midi. C'était le même soleil, la même lumière sur le même sable qui se prolongeait ici. Il y avait déjà deux heurs que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant." Albert Camus (1913-1960), L'étranger
"Je n'avais pas compris à quel point les jours pouvaient être à la fois longs et courts. Longs à vivre sans doute, mais tellement distendus qu'ils finissaient par déborder les uns sur les autres. Ils y perdaient leur nom. Les mots hier ou demain étaient les seuls qui gardaient un sens pour moi." Albert Camus (1913-1960), L'étranger
"Il était difficile de peindre le monde et les hommes et, en même temps, de vivre avec eux." Albert Camus (1913-1960), Jonas
"Des millions d'yeux, je le savais, ont contemplé ce paysage et, pour moi, il était comme le premier sourire du ciel." Albert Camus (1913-1960), Noces
"À certaines heures, la campagne est noire de soleil. Les yeux tentent vainement de saisir autre chose que des gouttes de lumière et de couleurs qui tremblent au bord des cils." Albert Camus (1913-1960), Noces